On peut dire aussi « POM »*, comme le fruit, il y en aurait des tas de variétés, à la couleur, l’acidité et à la fermeté variable.
J’ai découvert les POM / PO(E)M l’année dernière. Ce que j’y trouve de poétique, c’est la diversité des supports utilisés, un peu comme des OuLiPo : une infinité de possibles suivant les ressentis de l’auteur. Parfois, la photographie dit mieux que des mots, mais accompagnée de son, elle prend une teinte particulière ; parfois, des images animées muettes donnent la note. Parfois il n’y a rien, et alors l’ambiance sonore est un orchestre et guide le(s) sens.
Voici donc quelques PO(E)M(ES), acidulés ou très doux, selon la saison, selon la variété.
J’ai rencontré Daniel en automne 2017 à Carcassonne. Mais j’ai réellement rencontré Dani quand j’ai fait son portrait pour un travail à Carcassonne. Son histoire est celle de tant d’autres. Elle a la spécificité de lui appartenir, et il la livre avec pudeur, sincérité, générosité, à son image.
