La petite Maguelone me demande comme s’épelle son prénom pour signer la très jolie carte qu’elle veut m’offrir. C’est un oiseau – lequel je ne sais pas trop, est-ce que c’est ça qui compte ? – plein de couleurs, plein de vie, on dirait même qu’il chante. Il y a, écrit en tout petit, le mot Envol écrit sur une sorte de ruban qu’il porte dans son bec et qui le drape tout entier.
Alors je crois que l’année à venir sera bercée de toute l’innocence enfantine et la douceur de son sourire quand elle m’a offert cette carte. Il y a comme ça des moments magnifiques, d’une simplicité absolue et d’une vérité incroyable.
Je vous souhaite aussi de belles envolées cette année.
Je pense à chacun d’entre vous qui me lisez qui m’accompagnez, chacun à votre manière, et je voulais vous dire que ça compte beaucoup.
Et, surtout, je remercie mon oiseau d’être à mes côtés.