Reportage - hommage en souvenir de René Alibert, jougtier aveyronnais.

Travail à la hache : après avoir choisi le sens dans lequel le bois sera travaillé, René évide l'endroit où sera posé le joug sur la nuque de la vache ou du bœuf.

Premiers repères au crayon.

Premières explications

Première ébauche à la hache

Les haches travaillent de concert.

Du coin de l'œil, au détour de la conversation, René jauge le travail de Lionel.

Pause notes.

Malgré ses 80 ans passés, René n'est pas en reste. Les pauses sont courtes, le joug doit être fini ce soir.

Lionel donne ses impressions et demande des conseils à René.

Pause explications, qui se font de plus en plus techniques.

Parfois, un schéma vaut mieux que mille mots.

Lionel consigne soigneusement les explications.

Dessiner les zones où "tirer" le bois.

Le joug dégrossi apparaît, mais le travail n'est pas fini !

Après plusieurs heures de labeur, le bois brut est transformé.

René montre le travail à l'herminette, une fois celui à la hache terminé.

La précision est importante : attention à ne pas tirer trop de bois pour ne pas affaiblir la partie centrale du joug.

Observation du travail à l'herminette : postures, gestes, tout compte.

Lorsque René sort la scie, le joug est presque fini.

Les jougs Alibert, tout en courbes, ont quelque chose de délicat. Ce n'est qu'une impression, ils sont extrêmement robustes.

Chacun son joug : le métier finit par rentrer.

Jour de fête à Laissac, l'occasion d'exposer fièrement les jougs.

Jour de fête à Laissac - René sort les belles chaussures.

Lionel s'applique : pas question d'être en reste.

Consciencieux, il jauge son travail à chaque étape de fabrication.

Passation - d'une paire de mains à l'autre

Passation - d'une paire de mains à l'autre

Portrait de René, las après une belle journée de travail.

Au suivant !